Interview Mathieu Blanchard - Zambon Entreprises

media-02121689-004

Aujourd'hui, nous vous présentons Mathieu Blanchard, qui officie pour Zambon Entreprises en tant que conseiller en immobilier commercial et industriel.

ZE : Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?

MB : Bien sûr. Je suis Mathieu Blanchard, j’ai 33 ans. Je suis nantais d’origine, où j’ai suivi des études de commerce (BTS NRC). Je suis basketteur depuis l’enfance, joueur et entraîneur. Et je suis aujourd’hui conseiller en immobilier commercial et industriel chez Zambon Entreprises.

ZE : Comment avez-vous intégré l’entreprise ?

MB : Il y a six ans et demi de cela environ, j’étais gestionnaire de patrimoine, à Nantes. Je vendais de l’immobilier, mais sur le papier. Je n’étais pas pleinement satisfait. C’était une période où je me suis remis en question. Comme j’étais en veille sur le marché de l’immobilier, j’ai repéré deux ou trois « coups » signés par Pierre Zambon, qui avaient fait de l’écho chez nous. J’ai donc cherché à le rencontrer, via un contact commun. J’ai obtenu un entretien avec lui et Simon André, mais sans perspective de poste, à ce moment-là. Quelques heures après, Pierre me rappelait pour me proposer un stage de 15 jours pour découvrir l’entreprise. J’ai dit oui, j’avais très envie de revenir à du concret, à un travail de terrain. Au bout de ces deux semaines, la seule raison que j’avais de ne pas rester, c’était la distance Nantes-Laval. Ce qui n’était pas un gros frein. Quelques mois plus tard, je rejoignais l’équipe.

ZE : Quelles sont vos missions au sein de Zambon Entreprises ?

MB : Comme je le disais, je suis conseiller en immobilier commercial et industriel. Je gère un portefeuille composé de biens d’un côté et d’acquéreurs potentiels de l’autre. Une partie importante de mon travail, c’est la prospection pour alimenter ces deux portefeuilles. Une prospection physique d’abord. Je n’hésite pas à me rendre sur le terrain pour observer les entreprises que je sens à l’étroit, afin de leur proposer mes services. Cela se cumule avec un travail de prospection digitale, notamment en ce qui concerne les professions libérales qui sont moins disponibles. Dans le même temps, je suis en quête de locaux manifestement inoccupés, pour démarcher leurs propriétaires et leur proposer nos services.

Être intermédiaire, conseil et négociateur, c’est le cœur de mon métier et c’est vraiment une mission qui me tient à cœur. Les professionnels n’ont pas le temps de mener les recherches. Je suis un facilitateur. En ayant des contacts des deux côtés, je peux rapidement mettre en contact les bons interlocuteurs. Je suis là pour faire gagner du temps à tout le monde. J’organise les visites, les prises d’engagement écrits, les signatures et le suivi avec le notaire.

Je suis présent depuis l’émergence du besoin, jusqu’à la conclusion de la vente.

ZE : Sur quelle zone géographique travaillez-vous ?

MB : Nous raisonnons notamment en termes de cohérence de taille de villes. J’ai en charge le secteur du Sud-Mayenne, autour de Château-Gontier ; je suis aussi chargé du développement de notre activité sur la Sarthe, avec Sablé-sur-Sarthe ou La Flèche. Je travaille enfin sur Segré, pour ce qui concerne le Maine-et-Loire, Angers et Laval.

ZE : Qui sont les clients qui travaillent avec vous ?

MB : De fait, j’ai deux grandes typologies de clients. J’ai des investisseurs privés, financiers ou professionnels ainsi que des entreprises locales en besoin de développement de leur activité. Cela concerne des entreprises très différentes. Mais si je devais leur donner un point commun à toutes, ce serait la nature de leurs besoins. Il y a des grandes tendances qui s’expriment en même temps chez nos différents clients. Par exemple, en ce moment, c’est la question de l’adaptation aux personnes en situation de handicap qui mène les esprits. Le durcissement des conditions d’application de la loi de 2005 relative au handicap, amène les entreprises du tertiaire à changer de locaux pour qu’ils soient adaptés aux normes d’accessibilité PMR. J’ai donc beaucoup de mouvements qui se font dans ce sens. L’autre grande tendance du moment concerne les artisans. Avec les taux d’emprunt très bas, ils sont nombreux à vouloir agrandir leurs locaux. Et ils recherchent tous le même genre de biens.

Notre secteur est en éternel mouvement pour suivre les évolutions réglementaires, c’est aussi un autre aspect de mon travail très important, que d’être en veille sur ces sujets pour servir au mieux nos clients.

ZE : Pouvez-vous nous citer quelques clients avec lesquels vous travaillez ?

MB : Bien sûr. J’ai eu un gros travail à mener avec TGS France, par exemple, un cabinet d’audit et de conseil pour les PME. On les connaissait avant sous le nom SOREGOR. J’ai aussi mené le déploiement de 7 installations pour la marque Orange Bleue. Des salles de fitness. Je préparais le projet en coordination avec le développeur de l’entreprise. Lui démarchait les franchisés potentiels et leur présentait mon travail. On a fait du bon travail, ensemble.
Ce sont quelques exemples, mais forcément, nos clients sont très nombreux et très différents.

ZE : Quels sont les retours de vos clients sur votre travail ?

MB : Je crois qu’ils apprécient notamment la structuration de Zambon Entreprises. La passion de Pierre Zambon, l’énergie de Simon André, apportent beaucoup pour les clients comme pour nous collaborateurs. On est un peu comme une famille et cela se ressent je pense.

ZE : Mais là, vous nous parlez de l’entreprise. Que disent-ils de vous ?

MB : Oh… Je crois, j’espère en tous cas, qu’ils reconnaissent d’abord mon empathie. La relation humaine, c’est vraiment le cœur de ma pratique professionnelle. Comprendre l’autre, c’est lui faire gagner un temps qu’il n’a pas. Et puis il y a la ténacité, je pense. Pour construire une relation de confiance avec mes clients. Je suis tout à fait prêt à leur déconseiller un achat si je pense qu’il ne leur conviendra pas. Oui, on prend plus de temps pour conclure. Mais en jouant cette carte de la franchise, je crée une relation solide qui permettra au client de revenir vers moi pour mener de nouvelles opérations. Je ne les lâche que lorsqu’ils sont pleinement satisfaits de mon travail.

ZE : Y-a-t-il une opération en particulier, dont vous seriez particulièrement satisfait vous-même ?

MB : J’ai en tête un vrai pari, oui, que j’avais fait réaliser à un client investisseur. Un pari que je savais gagnant, mais pour lequel il a fallu s’adapter.
J’avais donc proposé un achat en VEFA (Vente en l’Etat Futur d’Achèvement) sur des cellules en « blanc » (construction lancée sans vente ou location préalable à un utilisateur), à Sablé-sur-Sarthe, dans la zone tertiaire de La Martinière. 300m² destiné à une locataire unique. Le client a fait son achat sur plans, il a fallu qu’il attende deux ans avant de tirer les bénéfices de son investissement. C’était osé. Pendant ce délai, je me suis rendu compte que les besoins n’étaient pas tellement sur une surface aussi large. J’avais identifié que si l’on scindait en deux l’espace, il y avait un vrai potentiel. J’ai donc proposé cette évolution à mon client, qui a accepté. Rapidement, j’ai réuni les deux clients. Mon investisseur a pu proposer deux loyers à des niveaux plus élevés, augmentant donc la rentabilité de son investissement.

C’est comme cela que je conçois mon travail : confiance, partenariat, adaptation. Au bénéfice de mes clients.

Propos recueillis en mars 2020

 

Notre équipe à votre service

Pierre ZAMBON
Dirigeant

Simon ANDRÉ
Associé

andre.simon01@gmail.com
06 20 93 07 24

Mathieu BLANCHARD
Conseiller en Immobilier
Commercial et industriel

Sébastien CHAINEAU
Conseiller en Immobilier
Commercial et industriel

Christèle EUDES

Conseil en Immobilier Commercial

Fabrice MAZOT
Conseiller en Immobilier
Commercial et industriel

Amandine DUBOIS
Conseillère en Immobilier
Commercial et industriel

adubois@zambon-entreprises.fr
06 77 76 51 92

 

Olivia ANDRÉ

Assistante Commerciale

Malaurie FOUILLEUL-ALLAIN

Alternante au poste d'assistante commerciale